Frédéric Bordage le 29 juillet 2008
Comme dans le cas du tabac et de l’amiante il y a 30 ans, les médecins ne disposent pas d’assez de recul pour juger de la dangerosité (ou pas) des ondes électromagnétiques des téléphones portables. Ils proposent d’appliquer le principe de précaution avant qu’il ne soit trop tard.